Déjà dans la capitale Guilin, on a eu du spectacle. Nous étions en minibus avec guide accompagnateur que nous avions réservé en arrivant à l'aéroport. J'ai du mal à imaginer les nécessaires pour transporter une telle cargaison à vélo. On a pas vu d'accident, pas de tôle froissée. 
La piste cyclable est très sécurisée.
L'entrée de l'autoroute laisse augurer un voyage sans surprise et très européen.
Très rapidement l'illusion s'en va et nous retombons dans la circulation des pays du tiers monde.
Sur la grande nationale soudain, le motoculteur-tracteur-camionette prend la priorité qu'il croit avoir. Cool, notre chauffeur freine sans une remarque et nous poursuivons vers le bou du monde.
Les bas-côtés sont colorés de jaune par les tas de pomelos chinois, délicieux.
Ce véhicule restera là, en panne jusqu'au soir. Il vaut mieux être prudent !
On traverse forêts de bambous, rizières et villages. 
Pour arriver dans les montagnes.
Bois, bambous, rizières, buissons de thé.
Pour arriver au village de Longji où il faudra grimper pour admirer le travail de l'homme qui a façonné ces montagnes à coup de siècles et de sueurs.
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